L’un des quatre reporters français retenus en otage en Syrie a livré, mercredi, un témoignage très documenté sur ses onze mois passés dans la « machine à tuer » du groupe terroriste. Il a aussi formellement reconnu la voix d’un de ses tortionnaires, le Français Mehdi Nemmouche.

L’opération « Calice » avait démarré en 2010 par une perquisition au domicile de l’archevêque de Malines-Bruxelles, Godfried Danneels, chef de l’Eglise de Belgique de 1979 à 2009. Un rapport avait identifié 91 auteurs suspectés de faits de viols, d’attouchements et de sadisme.

Saisi par la direction d’EuropaFi après une délibération du comité social et économique, le tribunal judiciaire de Clermont-Ferrand a débouté l’entreprise, jugeant caractérisée une situation de « danger grave et imminent ».

La spécialiste des enjeux industriels considère, dans un entretien au « Monde », que l’Union européenne n’est pas capable de rivaliser avec les puissances américaine et chinoise.

Le 18 avril 2014, les journalistes Nicolas Hénin, Didier François, Edouard Elias et Pierre Torres étaient libérés après dix mois de captivité et de sévices. Le procès de leurs geôliers, dont Mehdi Nemmouche, auteur de l’attentat du Musée juif de Belgique, s’est ouvert, lundi à Paris.

Donald Trump a décidé de s’attaquer à l’« exception » dont bénéficie le Golden State pour fixer ses propres normes d’émissions polluantes et ainsi améliorer la qualité de l’air.